L’appel du contrôle judiciaire avait été fait car le système judiciaire prend en otage cette personne, lui demandant la somme de 100 000 euros contre de la détention préventive (4 mois renouvelables), alors qu’il n’y a pas eu de jugement.
Verdict : la rançon reste la même. Toutefois, la cour d’appel a statué sur le cautionnement, avec une petite variante : parmi ces 100 000 euros à payer,
- 5 000 euros feront office de garantie de représentation et d’amendes (pour la justice) ;
- et 95 000 euros pour rembourser les dégâts d’un des mâts de mesure éolien construit par la société WPD ON SHORE FRANCE à Rilhac-Lastours (87), alors qu’il n’y pas de certitude de sa reconstruction.
Même si nous n’attendons rien de cette institution, force est de constater que la justice défend encore les intérêts des entreprises capitalistes et, pour le coup, n’attend même pas qu’un jugement puisse être mené avec une vraie défense !
Des bouts de ferraille tombés alors que, même s’il n’y pas de vent, les éoliennes industrielles sont quand même construites !
Que du vent !!!
La personne a jusqu’au 14 avril pour décider si elle paye la rançon pour sa liberté.
Solidarité aux courageuses !
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