Article paru dans la revue « A contretemps », le 2 novembre 2020.
Donc, voilà, c’est dit, c’est fait. En deux temps trois mouvements. Après avoir entendu que jamais de la vie, que la gamme des mesures était suffisamment vaste pour ne pas en arriver à cette extrémité « antiéconomique », qu’on pourrait avancer le couvre-feu de deux heures, confiner le week-end, parquer par catégories (les vieux, les sujets à risques – et pourquoi pas les jeunes trop fêtards ou les Gilets jaunes qui doivent (...)
