Nous pressentons pourtant bien qu’il va être diablement malaisé pour les diverses actions collectives pensées pour le 17 novembre de se déployer pleinement : difficultés pour l’instant à se réunir pour s’organiser ; difficultés à se rassembler et à agir le jour même...
A tous les collectifs engagés dans les actions du 17 novembre contre la réintoxication du monde
La vie comme elle se reconfine
Article paru dans la revue « A contretemps », le 2 novembre 2020.
Donc, voilà, c’est dit, c’est fait. En deux temps trois mouvements. Après avoir entendu que jamais de la vie, que la gamme des mesures était suffisamment vaste pour ne pas en arriver à cette extrémité « antiéconomique », qu’on pourrait avancer le couvre-feu de deux heures, confiner le week-end, parquer par catégories (les vieux, les sujets à risques – et pourquoi pas les jeunes trop fêtards ou les Gilets jaunes qui doivent (...)
Le 17 juin, agissons contre la réintoxication du monde
Le déconfinement doit être le moment de « construire de nouvelles manières d’habiter le monde ». Pour cela, il faut « accepter de rentrer en conflit direct avec ce qui l’empoisonne ». Différentes personnes et collectifs appellent donc à une série d’actions, blocages, occupations le 17 juin.
« Je suis irresponsable ! » : lettre aux bon·ne·s citoyen·ne·s si soudainement altruistes
Un texte sur la situation actuelle et les « responsabilités » qu’elle engage, plein de sensibilité et de juste colère.
Con finement
Poésie « plateaunique »
Coronavirus : l’état d’exception comme paradigme normal de gouvernement
Introduction puis article publié dans le "Manifesto" du 26 février dernier (et donné ici dans une traduction française d’Acta-Zone), intitulé « Coronavirus et état d’exception », émanant du philosophe Giorgio Agamben. Partant des contradictions de la parole experte, il dénonce cette tendance croissante des pouvoirs à utiliser l’état d’exception comme « paradigme normal de gouvernement ».
« Ne nous laissons pas isoler »
Nous vivons un moment historique, et lundimatin va vous épargner la peine de l’apprendre de la bouche du président de la République le plus haïssable que le pays ait connu depuis Louis-Napoléon Bonaparte.
Rencontre avec Gérard Mordillat le 16 avril au Lido à 20 h 30
Projection de Marché (durée 52 min), dernier épisode de Travail Salaire Profit de Gérard Mordillat et Bertrand Rothé, non montré par Arte lors de la présentation de la série le 15 octobre dernier.
La « non-violence » complice de l’Etat
« La soumission de l’opprimé relève de l’ordre établi. Qu’il rompe cet ordre en brisant ses chaînes et en frappant le maître, voilà le scandale. Dans la langue des maîtres devenue langue commune, le violent n’est pas celui qui fait violence, mais le vilain qui ose se rebeller. »