Ateliers d’« Autodéfense juridique » le samedi 2 mars après-midi à Faux la Montagne
Ateliers d’auto-défense juridique
Loi anti-casseur : loi anti-manif
A tout mouvement social d’ampleur qui déborde, le gouvernement élabore une réponse pour ne pas être pris de court de nouveau. La loi en cours d’élaboration, qui porte le nom de « lutte contre la casse » prévoit de criminaliser tout ce qui a permis aux gilets jaunes de déstabiliser l’ordre établi.
Acte XII à Limoges : contre les violences policières, pour l’interdiction du LBD 40 et autres grenades
Acte XII : appel à se retrouver à Beaublanc samedi 2 février à 14 heures pour pouvoir se regrouper et ainsi partir pour une action concernant les violences policières.
Gravement blessés, des manifestants appellent à un « acte XII » pour l’interdiction des grenades et flashballs
Rendez-vous le 2 février à 14 heures devant tous les commissariats et gendarmeries de France. « Venez avec des bandages, des béquilles, un pansement sur l’œil ou tout ce qui pourrait symboliser la mutilation du peuple par l’État. »
Combien de temps encore quelques traces frauduleuses d’ADN justifieront une détention provisoire ?
Alors qu’à travers la France les forces de l’ordre s’agitent férocement pour défendre le régime, S. dort en détention provisoire depuis le 27 mars 2018 à la maison d’arrêt de Limoges. Accusé d’avoir incendié des véhicules de la gendarmerie à la caserne Jourdan de Limoges, il est retenu pour quelques traces d’ADN frauduleusement obtenues.
Communiqué du centre de rétention de Oissel : fin des violences policières et fermeture du CRA !
Des prisonniers du centre de rétention de Oissel ont décidé d’écrire un texte collectif, dénonçant leurs conditions d’enfermements et expliquant leurs revendications.
Appel à soutenir S. pour l’appel du refus de sa Demande de Mise en Liberté
Alors qu’à travers la France les forces de l’ordre s’agitent férocement pour défendre le régime, S. dort en détention provisoire depuis le 27 mars 2018 à la Maison d’Arrêt de Limoges. Accusé d’avoir incendié des véhicules de la gendarmerie à la caserne Jourdan de Limoges, il est retenu pour quelques traces d’ADN frauduleusement obtenues, seul élément à charge dans un dossier lourd de milliers de pages mais qui justifie pourtant de le garder à l’ombre. Le 10 janvier à 8h30 aura lieu a la (...)
Répression d’un gilet jaune limougeaud
Encore un fois, et de plus en plus, la police et la justice traquent les militants en attaquant les personnes isolées, avec des outils judiciaires déjà rodés par la répression quotidienne dans les quartiers populaires par exemple.
Avec l’acte IV, comme pour le mouvement de la loi Travail, nous assistons à des arrestations préventives, l’utilisation massive d’armes par la police (avec son lot de blessés, mutilés et morts) et d’impressionnants déploiements de forces de l’ordre sur le (...)
Lettre ouverte sur les violences policières du samedi 1er décembre, Limoges
J’écris cette lettre pour témoigner des faits datant du samedi 1er décembre qui n’ont pas été relayés par les médias à la hauteur de leur importance. Ce soir-là un seuil de violence policière a été franchi à Limoges, ville où les manifestations se déroulent généralement dans le calme.
Quand l’Etat a peur
A Limoges, alors même que les manifestations se sont toujours déroulées dans le calme et que la police a déjà fait preuve de sa capacité à être démesurément violente, le préfet, visiblement apeuré, prend des mesures strictes :
Les événements intervenus récemment à Paris dans le cadre du mouvement des gilets jaunes peuvent laisser craindre, en marge des manifestations déclarées et prévues le samedi 8 décembre 2018 à Limoges et dans le département de la Haute-Vienne, des débordements (...)
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